>AQUI VAMOS<
un film de Alexandre Fernandez, produit par l'AJOUR31
>HUMAN FAIR< Toulouse
pièce chorégraphique pour 5 danseur-ses 3ème volet "identité(s)" de la Trilogie pour geste de survie
HUMAN FAIR, la foire humaine, a pour sujet d’étude « l’être», le « je suis », dans ses spécificités corporelles à la fois uniques et différentes, c’est-à-dire l’ensemble des éléments physiques qui nous compose et forme notre originalité, ainsi que l’ensemble des « appréhensions cognitives de soi » qui forge notre singularité et notre identité propre. Il s’agit ici de « nos identités » dans leurs complexités chorégraphiques, dans leurs multiples acceptions et postures; dans les modes opératoires connus d’inclusion(s) ou d’exclusion(s), des similitudes ou des différences. 5 danseurs, 5 identités, 5 personnalités dans leurs aspects les plus intimes, dans leurs diversités multidimensionnelles. 5 corps dans leurs dérives physiques, déjantés dans leurs mouvements, leur gestuelle, leur façon singulière de bouger, l’identité qui s’en dégage, l’histoire qui s’y déroule et nous bouleverse.
>ASPHYXIA< Nantes
pièce chorégraphique pour une pièce sonore à 2
ASPHYXIA EST UN AGENT DE DECONTAMINATION
L'ÉTAT DE L'HOMME EST ÉTROITEMENT LIÉ À L'ÉTAT DU MONDE
L’homme chassé, je le chasse dans une chasse à l’homme ouverte sur les deux interrogations suivantes : Le monde où en est-il ? L’homme qu’en est-il
dans ce monde ?
> TOUCH' < Séville
Pièce chorégraphique pour un homme et une femme accompagnés par un musicien
Alexandre Fernandez en duo avec Daniela Labbé Cabrera évoluants dans une approche proxémique et synesthésique du traitement de l’espace sonore et physique des corps, de leurs mouvements et de leurs perceptions.
CAPSULE° Probe Radar Ozaballet
DIASPORA, nouvelles figures migrantes
cliquer sur les images pour visionner la conférence (4 extraits)
Le journaliste, critique et essayiste Yan Ciret s'appuie sur la pièce chorégraphique 36e// parallèle y otros paralelos d'Alexandre Fernandez pour poser sa réflexion sur l'état des nouvelles figures migrantes.
La dispersion, le dissémination, le trans-genre et l’hybridation sont des catégories valorisées dans le champs de l’esthétique, elles paraissent porteuses de nouvelles “valeurs”. Ces déplacements de frontières identitaires correspondent à de nouvelles figures de la migration dans l’espace public. Qu’en serait-il si, l’on alignait ce travail de l’art sur des faits politiques ? Pourquoi ce qui est encouragé du côté des formes artistiques se voit refoulé lorsqu’il s’agit des diasporas bien réelles qui nous viennent de notre outre-monde ?